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Redresser la France en perdition

23 juin 2013

Les couples d'homosexuels étrangers interdits d'adoption d'enfants russes par la Russie, qui défend ses valeurs sociétales

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La Russie interdit l'adoption d'enfants aux couples homosexuels étrangers

Le Point.fr- Publié le 21/06/2013 à 15:06

La loi a obtenu le soutien de 444 députés. Aucun élu ne s'y est opposé. Le texte doit être encore approuvé par la chambre haute du Parlement.

                       

La chambre basse du Parlement russe, la Douma, a voté vendredi en troisième et dernière lecture une loi interdisant l'adoption d'enfants russes par des couples homosexuels ou des célibataires dans les pays ayant légalisé les unions entre personnes de même sexe. Cette loi, qui doit encore être approuvée par la chambre haute du Parlement, le Conseil de la Fédération, et signée par le président russe, a obtenu le soutien de 444 députés. Aucun n'a voté contre. Le projet de loi avait été adopté en deuxième lecture mardi.

Selon le texte, l'adoption d'enfants russes est interdite aux "personnes de même sexe dont l'union est reconnue comme un mariage et qui a été enregistrée dans un État où une telle union est autorisée, ainsi qu'aux citoyens de tels États qui ne sont pas mariés". Les couples mariés hétérosexuels peuvent, eux, encore adopter des enfants russes. Mais les célibataires sont privés de cette possibilité. Les mariages entre personnes de même sexe sont autorisés actuellement dans 14 pays, dont le Canada, la Belgique, l'Espagne, et récemment la France. En décembre, Moscou a déjà interdit les adoptions d'enfants russes par les Américains, en réponse à la "liste Magnitski", une loi américaine sanctionnant des responsables russes impliqués dans la mort en prison en 2009 de l'avocat Sergueï Magnitski.

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22 juin 2013

Lettre Ouverte à Annie Le HOUEROU,député des Côtes d'Armor, indifférente à la misère du peuple breton

Jean-Jacques ROUSSEAU Ferney- Voltaire le 18 mai 2013

Philosophe des Lumières

auteur de "Le Contrat social"

xxxxx

Royaume de France

LETTRE OUVERTE

à Madame Annie LEHOUEROU

Députée des Côtes d’Armor

Ancienne maire de Guingamp

Madame la députée,

Vous êtes membre de la Commission parlementaire permanente des Affaires sociales.

Je voudrais que vous me donniez votre avis sur la situation que je vais vous exposer, et que vous me disiez si elle vous paraît normale.

Dans l’hypothèse où vous me répondriez par l’affirmative, je souhaiterais connaître vos raisons.

Dans l’hypothèse où vous me répondriez par la négative, quelles mesures vous paraîtraient-elles souhaitables pour y remédier, et que pensez vous faire dans cette optique ?

En cas de non réponse de votre part dans un délai de 1 mois, j’en conclurais que cette question sociale emblématique vous est indifférente et donc ne vous intéresse pas. Ce que je déplorerais.

Exposé

1) J’emploie depuis 6 années, à P... une dame « femme de ménage » selon l’appellation traditionnelle, ou « employée de maison » selon une appellation plus respectueuse, ou « technicienne de surface » selon une appellation pompeuse maintenant utilisée, notamment dans une pièce de théâtre à succès à Paris.

Cette personne est déclarée à l’URSSAF via le système du chèque-emploi-service.

Elle travaille comme telle depuis de nombreuses années, et est âgée de 52 ans. Mais son nombre d’heures hebdomadaire ne dépasse pas 12 à 15h. Enfin elle est de santé fragile et dépressive.

Après une hospitalisation pour ce motif, elle vient d’être mise en arrêt de travail par son médecin jusqu’au 1er août 2013, donc pour 2 mois et demi.

Du fait qu’elle ne travaille pas le nombre d’heures minimum (20 h/semaine d’après mes informations) pour avoir droit aux prestations maladie de la Sécurité sociale, elle n’a rigoureusement droit à rien, pas un euro, de la part de la Sécurité sociale pendant la totalité de son arrêt- maladie.

2) Par ailleurs, tout immigré, clandestin ou non, demandeur d’asile en France, a droit de la part de Pôle-Emploi donc d’un service public, à une allocation temporaire d’attente ATA selon les modalités ci-dessous.

Montant : 335 euros par mois

Durée : indéterminée (celle de l’instruction de son dossier de demandeur d’asile, durant laquelle selon les textes officiels il lui est interdit de travailler ( !)

Et ce sans jamais avoir travaillé en France donc sans jamais avoir versé des cotisations à la Sécurité sociale.

En outre l’immigré clandestin a droit à la gratuité de la totalité des soins médicaux sans avoir à payer le moindre ticket modérateur ni le moindre euro de sa poche, contrairement aux assurés sociaux français.

En 2012 Mme Marisol TOURAINE a même cru pouvoir supprimer le droit d’entrée de 15 euros ( !) qui lui était demandé depuis 2011 pour bénéficier de l’AME..(Bien qu’il ait trouvé 10 000 à 15 000 euros pour payer des passeurs afin de parvenir en France, ce qui implique des ressources).

Il y a donc là en tout cas une discrimination choquante, injuste au profit d’étrangers, et ce au préjudice de citoyens français, un « deux poids deux mesures » contraire au principe d’Egalité de tous les individus devant la loi.

Des citoyens français qui ont travaillé moins de 20h par semaine mais versé des cotisations sociales pendant de nombreuses années ne sont remboursés que partiellement de leurs soins médicaux par la Sécurité sociale, et de moins en moins chaque année ; de plus en cas d’arrêt- maladie ils n’ont droit à rien de la sécurité sociale ou d’un autre service public comme Pôle Emploi

Tandis que des étrangers y compris les clandestins n’ayant jamais cotisé à la Sécurité sociale ont droit, non seulement à la gratuité totale des soins médicaux, aux frais des assurés français, mais en outre à une allocation mensuelle de 335 euros en 2013 !!!

Je suis persuadé que l’injustice sociale de cette situation ne vous échappera pas, de même qu’elle est contraire au principe d’Egalité des citoyens devant la loi, et donc qu’elle est constitutive d’une discrimination raciale.

La « justice sociale » et la « solidarité », que le Parti socialiste et ses élus invoquent systématiquement pour faire accepter leurs décisions, exigent de ne pas laisser dans une situation matérielle dramatique des personnes comme celles dont je viens de vous exposer le cas. Et donc pour le moins de rétablir l’Egalité de traitement de Français qui ont cotisé à la Sécurité sociale avec des étrangers qui bénéficient d’allocations comme l’ATA sans jamais avoir travaillé ni cotisé en France.

En versant à ces personnes en arrêt- maladie au minimum la même allocation de 335 euros par mois d’arrêt maladie.

Texte réglementaire . ATA Bénéficiaires

Le bénéficiaire de l'ATA doit faire partie de l'une de ces catégories[2] :

Le nombre de bénéficiaires de l'ATA était de 35 700 en 2009, puis de 44 500 en 2010, soit une augmentation de 24,6 %[4]. Celle-ci est à relativiser par rapport au faible nombre de bénéficiaires ces dernières années, l'année 2010 reste ainsi inférieure aux 48 100 bénéficiaires de l'année 2004[4].

Caractéristiques de l'allocation

Montant

Pour l'année 2012, l'ATA est de 11,01€ par jour, soit 330,30€ pour un mois de 30 jours[9]. L'allocation est soumise à l'impôt sur le revenu, mais pas à la CRDS, ni à la CSG.

Pour l'année 2013, l'allocation est revalorisée à 11,17€ par jour, soit 335,10€ pour un mois de 30 jours[10]. L'enveloppe prévue par le projet de loi de finances 2013 se monte à 140 millions d'euros dont 5,5 millions de frais de gestion alloués à Pôle emploi[10], les dotations des années précédentes s'étant avérées systématiquement inférieures aux dépenses réelles[11].

L'ATA est incessible et insaisissable[12].

Durée

Pour les demandeurs d'asile et les bénéficiaires de la protection temporaire, l'allocation est versée tant que la situation du bénéficiaire n'a pas évolué[13].

Dans l’attente de vous lire, je vous prie de croire, madame la députée, à ma haute considération.

Jean-Jacques ROUSSEAU

auteur du "Contrat social"

xxxxxxxxxxxxxxx
--------------------------------------------------------------------

Le lecteur comprendra aisément que ci-dessus l'auteur de la Lettre Ouverte ci-dessus n'ait pas mentionné son véritable nom.

Au 17 juin 2013 cette lettre n'a reçu AUCUNE REPONSE NI ACCUSE DE RECEPTION.

C'est le MEPRIS le plus total ! Comme au Grand Siècle les Nobles méprisaient les manants, les vils roturiers, la plupart des députés après leur élection méprisent ceux de leurs compatriotes qui ne font pas partie de la high society, qui n'appartiennent pas à l'univers des riches privilégiés ou à la Nomenklatura socialiste.

Cette dame bretonne, Annie LE HOUEROU, ex- maire de GUINGAMP (22200) se prend-elle pour la Marquise de Sévigné, une noble bretonne, célèbre écrivain du XVIIème siècle qui vivait au château des Rochers près de Vitré (35), pour être à ce point hautaine ? Mais elle n'est que roturière et n'a pas les qualités littéraires de Mme de Sévigné, puisqu'elle ne daigne pas répondre à une lettre ouverte d'un sujet du Roi François II, son mentor qui règne dans l'Olympe élyséenne.

On n'ose imaginer qu'elle soit illettrée. Le département des Côtes d'Armor serait alors bien mal représenté dans la Ville Lumière auprès du monarque François II !!

Volens nolens,elle faillit ainsi à la mission sociale qu'elle s'est elle- même assignée en s'inscrivant à la Commission permanente des Affaires sociales de l'Assemblée nationale. Mépris et indifférence d'autant plus honteux que la personne pour laquelle, Moi Jean-Jacques Rousseau, suis intervenu, vit dans les Côtes d'Armor, le département d'Annie dont elle est une compatriote bretonne.

Si elle ne se prend pas pour la Marquise de Sévigné, peut-être pour la Marquise de Montespan, à moins que ce ne soit la Marquise de Pompadour ?..Le Roi François II n'a-t-il pas en effet avec sa bouille ronde une vague ressemblance avec Louis XV le Bien-Aimé ?

Hélas la Pompadour avait de la classe, alors que Annie, roturière parvenue au bas des marches du Pouvoir occupé par le Jupiter élyséen mais non encore émergée de l'anonymat du magma des 577 députés qui grouillent dans les bas- fonds du Pouvoir, en a bien peu. Que Dieu Tout-Puissant lui pardonne ! La Duchesse Anne de Bretagne si aimée de son peuple était plus soucieuse du bien-être de ses sujets que cette parvenue.

i

 

22 juin 2013

Lettre Ouverte à Annie LE HOUEROU député des Côtes d'Armor

Jean-Jacques ROUSSEAU Ferney- Voltaire le 18 mai 2013

Philosophe des Lumières

auteur de "Le Contrat social"

xxxxx

Royaume de France

LETTRE OUVERTE

à Madame Annie LEHOUEROU

Députée des Côtes d’Armor

Ancienne maire de Guingamp

Madame la députée,

Vous êtes membre de la Commission parlementaire permanente des Affaires sociales.

Je voudrais que vous me donniez votre avis sur la situation que je vais vous exposer, et que vous me disiez si elle vous paraît normale.

Dans l’hypothèse où vous me répondriez par l’affirmative, je souhaiterais connaître vos raisons.

Dans l’hypothèse où vous me répondriez par la négative, quelles mesures vous paraîtraient-elles souhaitables pour y remédier, et que pensez vous faire dans cette optique ?

En cas de non réponse de votre part dans un délai de 1 mois, j’en conclurais que cette question sociale emblématique vous est indifférente et donc ne vous intéresse pas. Ce que je déplorerais.

Exposé

1) J’emploie depuis 6 années, à P... une dame « femme de ménage » selon l’appellation traditionnelle, ou « employée de maison » selon une appellation plus respectueuse, ou « technicienne de surface » selon une appellation pompeuse maintenant utilisée, notamment dans une pièce de théâtre à succès à Paris.

Cette personne est déclarée à l’URSSAF via le système du chèque-emploi-service.

Elle travaille comme telle depuis de nombreuses années, et est âgée de 52 ans. Mais son nombre d’heures hebdomadaire ne dépasse pas 12 à 15h. Enfin elle est de santé fragile et dépressive.

Après une hospitalisation pour ce motif, elle vient d’être mise en arrêt de travail par son médecin jusqu’au 1er août 2013, donc pour 2 mois et demi.

Du fait qu’elle ne travaille pas le nombre d’heures minimum (20 h/semaine d’après mes informations) pour avoir droit aux prestations maladie de la Sécurité sociale, elle n’a rigoureusement droit à rien, pas un euro, de la part de la Sécurité sociale pendant la totalité de son arrêt- maladie.

2) Par ailleurs, tout immigré, clandestin ou non, demandeur d’asile en France, a droit de la part de Pôle-Emploi donc d’un service public, à une allocation temporaire d’attente ATA selon les modalités ci-dessous.

Montant : 335 euros par mois

Durée : indéterminée (celle de l’instruction de son dossier de demandeur d’asile, durant laquelle selon les textes officiels il lui est interdit de travailler ( !)

Et ce sans jamais avoir travaillé en France donc sans jamais avoir versé des cotisations à la Sécurité sociale.

En outre l’immigré clandestin a droit à la gratuité de la totalité des soins médicaux sans avoir à payer le moindre ticket modérateur ni le moindre euro de sa poche, contrairement aux assurés sociaux français.

En 2012 Mme Marisol TOURAINE a même cru pouvoir supprimer le droit d’entrée de 15 euros ( !) qui lui était demandé depuis 2011 pour bénéficier de l’AME..(Bien qu’il ait trouvé 10 000 à 15 000 euros pour payer des passeurs afin de parvenir en France, ce qui implique des ressources).

Il y a donc là en tout cas une discrimination choquante, injuste au profit d’étrangers, et ce au préjudice de citoyens français, un « deux poids deux mesures » contraire au principe d’Egalité de tous les individus devant la loi.

Des citoyens français qui ont travaillé moins de 20h par semaine mais versé des cotisations sociales pendant de nombreuses années ne sont remboursés que partiellement de leurs soins médicaux par la Sécurité sociale, et de moins en moins chaque année ; de plus en cas d’arrêt- maladie ils n’ont droit à rien de la sécurité sociale ou d’un autre service public comme Pôle Emploi

Tandis que des étrangers y compris les clandestins n’ayant jamais cotisé à la Sécurité sociale ont droit, non seulement à la gratuité totale des soins médicaux, aux frais des assurés français, mais en outre à une allocation mensuelle de 335 euros en 2013 !!!

Je suis persuadé que l’injustice sociale de cette situation ne vous échappera pas, de même qu’elle est contraire au principe d’Egalité des citoyens devant la loi, et donc qu’elle est constitutive d’une discrimination raciale.

La « justice sociale » et la « solidarité », que le Parti socialiste et ses élus invoquent systématiquement pour faire accepter leurs décisions, exigent de ne pas laisser dans une situation matérielle dramatique des personnes comme celles dont je viens de vous exposer le cas. Et donc pour le moins de rétablir l’Egalité de traitement de Français qui ont cotisé à la Sécurité sociale avec des étrangers qui bénéficient d’allocations comme l’ATA sans jamais avoir travaillé ni cotisé en France.

En versant à ces personnes en arrêt- maladie au minimum la même allocation de 335 euros par mois d’arrêt maladie.

Texte réglementaire . ATA Bénéficiaires

Le bénéficiaire de l'ATA doit faire partie de l'une de ces catégories[2] :

Le nombre de bénéficiaires de l'ATA était de 35 700 en 2009, puis de 44 500 en 2010, soit une augmentation de 24,6 %[4]. Celle-ci est à relativiser par rapport au faible nombre de bénéficiaires ces dernières années, l'année 2010 reste ainsi inférieure aux 48 100 bénéficiaires de l'année 2004[4].

Caractéristiques de l'allocation

Montant

Pour l'année 2012, l'ATA est de 11,01€ par jour, soit 330,30€ pour un mois de 30 jours[9]. L'allocation est soumise à l'impôt sur le revenu, mais pas à la CRDS, ni à la CSG.

Pour l'année 2013, l'allocation est revalorisée à 11,17€ par jour, soit 335,10€ pour un mois de 30 jours[10]. L'enveloppe prévue par le projet de loi de finances 2013 se monte à 140 millions d'euros dont 5,5 millions de frais de gestion alloués à Pôle emploi[10], les dotations des années précédentes s'étant avérées systématiquement inférieures aux dépenses réelles[11].

L'ATA est incessible et insaisissable[12].

Durée

Pour les demandeurs d'asile et les bénéficiaires de la protection temporaire, l'allocation est versée tant que la situation du bénéficiaire n'a pas évolué[13].

Dans l’attente de vous lire, je vous prie de croire, madame la députée, à ma haute considération.

Jean-Jacques ROUSSEAU

auteur du "Contrat social"

xxxxxxxxxxxxxxx
--------------------------------------------------------------------

Le lecteur comprendra aisément que ci-dessus l'auteur de la Lettre Ouverte ci-dessus n'ait pas mentionné son véritable nom.

Au 17 juin 2013 cette lettre n'a reçu AUCUNE REPONSE NI ACCUSE DE RECEPTION.

C'est le MEPRIS le plus total ! Comme au Grand Siècle les Nobles méprisaient les manants, les vils roturiers, la plupart des députés après leur élection méprisent ceux de leurs compatriotes qui ne font pas partie de la high society, qui n'appartiennent pas à l'univers des riches privilégiés ou à la Nomenklatura socialiste.

Cette dame bretonne, Annie LE HOUEROU, ex- maire de GUINGAMP (22200) se prend-elle pour la Marquise de Sévigné, une noble bretonne, célèbre écrivain du XVIIème siècle qui vivait au château des Rochers près de Vitré (35), pour être à ce point hautaine ? Mais elle n'est que roturière et n'a pas les qualités littéraires de Mme de Sévigné, puisqu'elle ne daigne pas répondre à une lettre ouverte d'un sujet du Roi François II, son mentor qui règne dans l'Olympe élyséenne.

On n'ose imaginer qu'elle soit illettrée. Le département des Côtes d'Armor serait alors bien mal représenté dans la Ville Lumière auprès du monarque François II !!

Volens nolens,elle faillit ainsi à la mission sociale qu'elle s'est elle- même assignée en s'inscrivant à la Commission permanente des Affaires sociales de l'Assemblée nationale. Mépris et indifférence d'autant plus honteux que la personne pour laquelle, Moi Jean-Jacques Rousseau, suis intervenu, vit dans les Côtes d'Armor, le département d'Annie dont elle est une compatriote bretonne.

Si elle ne se prend pas pour la Marquise de Sévigné, peut-être pour la Marquise de Montespan, à moins que ce ne soit la Marquise de Pompadour ?..Le Roi François II n'a-t-il pas en effet avec sa bouille ronde une vague ressemblance avec Louis XV le Bien-Aimé ?

Hélas la Pompadour avait de la classe, alors que Annie, roturière parvenue au bas des marches du Pouvoir occupé par le Jupiter élyséen mais non encore émergée de l'anonymat du magma des 577 députés qui grouillent dans les bas- fonds du Pouvoir, en a bien peu. Que Dieu Tout-Puissant lui pardonne ! La Duchesse Anne de Bretagne si aimée de son peuple était plus soucieuse du bien-être de ses sujets que cette parvenue.

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22 juin 2013

Lettre Ouverte à Catherine LE MORTON présidente Commission Affaires sociales Assemblée nationale

De : xxxxx Jean-Jacques ROUSSEAU

à Ferney- Voltaire

Envoyé : vendredi 31 mai 2013 10:32 À : Jean-Patrick Gille; Jean-Pierre Door; catherine LeMorton

Objet : Assemblée nationaleFw: Allocation temporaire d'Attente (ATA) pour étrangers demandeurs d'asile/ indemnités de sécurité sociale pour certains citoyens français en arrêt maladie

Madame Catherine Le Morton

députée

Présidente de la Commission des Affaires sociales

Assemblée nationale

Palais Bourbon

75 - PARIS

Monsieur Jean-Pierre Door

député

Vice- président de la Commission des Affaires sociales

Assemblée nationale

Monsieur Jean-Patrick Gille

député

Vice- président de la Commission des Affaires sociales

Assemblée nationale

Madame la Présidente de la Commission,

Messieurs les vice- présidents de la Commission

Le 18 mai 2013 j'ai adressé à Mme Annie LE HOUEROU, en tant que membre de votre Commission et députée des Côtes d'Armor, un courriel dont copie est jointe ci-dessous.

A ce jour 19 juin 2013 je n'ai enregistré aucune réaction de Mme Le HOUEROU.

En raison de la carence de cette députée PS des Côtes d'Armor, je me permets de vous soumettre directement le cas en question.

La question soulevée, est une question de justice sociale et de solidarité, d'EGALITE de traitement aussi entre citoyens français et étrangers, illégaux ou non.

Au nom du principe d'EGALITE de tous devant la loi, ne serait-il pas JUSTE de faire bénéficier des mêmes droits que des étrangers illégaux n'ayant jamais cotisé à la sécurité sociale, soit une indemnité de 335 euros par mois, des citoyens français ayant cotisé des années à la sécurité sociale mais moins de 20h par semaine et en arrêt- maladie de longue durée ?

Il est choquant et injuste de constater qu'actuellement il n'en est rien et qu'au contraire un traitement discriminatoire injuste est appliqué à ces deux catégories sociales.

Si les membres de la Commission des Affaires sociales de l'Assemblée nationale refusent de se saisir d'une question parce qu'elle émane d'un simple citoyen lanceur d'alertes, est ce juste ? Je pose cette question spécialement aux élus socialistes et de gauche, qui invoquent toujours la "justice sociale", la "solidarité". C'est une excellente occasion de prouver qu'il ne s'agit pas de vains mots, s'il en est encore temps.

Pour Mme LE HOUEROU qui m'a manifesté tout le mépris dont elle est capable, je sais à quoi m'en tenir. Son mépris, je le lui rends . Ce n'est vraiment pas la peine de faire partie de la Commission des Affaires sociales.

Qu'elle ne compte pas sur moi pour apporter des voix au Parti socialiste aux municipales de 2014.

En cas de refus de réponse de votre part ou de réponse défavorable d'ici le 5 juillet 2013, je donnerai un maximum de publicité à ces courriels sur Internet et sur les réseaux sociaux afin de montrer le vrai visage des élus de la Nation sur les Affaires sociales.

Je vous prie de croire, madame la présidente, messieurs les vice- présidents, à l'assurance de mon profond respect.

www.

To: Annie Le HOUEROU

Sent: Saturday, May 18, 2013 2:25 PM

Subject: Allocation temporaire d'Attente (ATA) pour étrangers demandeurs d'asile/ indemnités de sécurité sociale pojur certains citoyens français en arrêt maladie

à Madame Annie LEHOUEROU

Députée des Côtes d’Armor

Ancien maire de Guingamp

Madame la députée,

Vous êtes membre de la Commission parlementaire permanente des Affaires sociales.

Je voudrais que vous me donniez votre avis sur la situation que je vais vous exposer, et que vous me disiez si elle vous paraît normale.

Dans l’hypothèse où vous me répondriez par l’affirmative, je souhaiterais connaître vos raisons.

Dans l’hypothèse où vous me répondriez par la négative, quelles mesures vous paraîtraient-elles souhaitables pour y remédier, et que pensez vous faire dans cette optique ?

En cas de non réponse de votre part dans un délai de 1 mois, j’en conclurais que cette question sociale emblématique vous est indifférente et donc ne vous intéresse pas. Ce que je déplorerais.

Exposé

1) J’emploie depuis 6 années, à Pleubian (22610) une dame « femme de ménage » selon l’appellation traditionnelle, ou « employée de maison » selon une appellation plus respectueuse, ou « technicienne de surface » selon une appellation pompeuse maintenant utilisée, notamment dans une pièce de théâtre à succès à Paris.

Cette personne est déclarée à l’URSSAF via le système du chèque-emploi-service.

Elle travaille comme telle depuis de nombreuses années, et est âgée de 52 ans. Mais son nombre d’heures hebdomadaire ne dépasse pas 12 à 15h. Enfin elle est de santé fragile et dépressive.

Après une hospitalisation pour ce motif, elle vient d’être mise en arrêt de travail par son médecin jusqu’au 1er août 2013, donc pour 2 mois et demi.

Du fait qu’elle ne travaille pas le nombre d’heures minimum (20 h/semaine d’après mes informations) pour avoir droit aux prestations maladie de la Sécurité sociale, elle n’a rigoureusement droit à rien, pas un euro, de la part de la Sécurité sociale pendant la totalité de son arrêt- maladie.

2) Par ailleurs, tout immigré, clandestin ou non, demandeur d’asile en France, a droit de la part de Pôle-Emploi donc d’un service public, à une allocation temporaire d’attente ATA selon les modalités ci-dessous.

Montant : 335 euros par mois

Durée : indéterminée (celle de l’instruction de son dossier de demandeur d’asile, durant laquelle selon les textes officiels il lui est interdit de travailler ( !)

Et ce sans jamais avoir travaillé en France donc sans jamais avoir versé des cotisations à la Sécurité sociale.

En outre l’immigré clandestin a droit à la gratuité de la totalité des soins médicaux sans avoir à payer le moindre ticket modérateur ni le moindre euro de sa poche, contrairement aux assurés sociaux français.

En 2012 Mme Marisol TOURAINE a même cru pouvoir supprimer le droit d’entrée de 15 euros ( !) qui lui était demandé depuis 2011pour bénéficier de l’AME..(Bien qu’il ait trouvé 10 000 à 15 000 euros pour payer des passeurs afin de parvenir en France, ce qui implique des ressources).

Il y a donc là en tout cas une discrimination choquante, injuste au profit d’étrangers, et ce au préjudice de citoyens français, un « deux poids deux mesures » contraire au principe d’Egalité de tous les individus devant la loi.

Des citoyens français qui ont travaillé moins de 20h par semaine mais versé des cotisations sociales pendant de nombreuses années ne sont remboursés que partiellement de leurs soins médicaux par la Sécurité sociale, et de moins en moins chaque année ; de plus en cas d’arrêt- maladie ils n’ont droit à rien de la sécurité sociale ou d’un autre service public comme Pôle Emploi

Tandis que des étrangers y compris les clandestins n’ayant jamais cotisé à la Sécurité sociale ont droit, ont droit non seulement à la gratuité totale des soins médicaux, aux frais des assurés français, mais en outre à une allocation mensuelle de 335 euros en 2013 !!!

Je suis persuadé que l’injustice sociale de cette situation ne vous échappera pas, de même qu’elle est contraire au principe d’Egalité des citoyens devant la loi, et donc qu’elle est constitutive d’une discrimination raciale.

La « justice sociale » et la « solidarité », que le Parti socialiste et ses élus invoquent systématiquement pour faire accepter leurs décisions, exigent de ne pas laisser dans une situation matérielle dramatique des personnes comme celles dont je viens de vous exposer le cas. Et donc pour le moins de rétablir l’Egalité de traitement de Français qui ont cotisé à la Sécurité sociale avec des étrangers qui bénéficient d’allocations comme l’ATA sans jamais avoir travaillé ni cotisé en France.

En versant à ces personnes en arrêt- maladie au minimum la même allocation de 335 euros par mois d’arrêt maladie.

Texte réglementaire . ATA Bénéficiaires

Le bénéficiaire de l'ATA doit faire partie de l'une de ces catégories[2] :

Le nombre de bénéficiaires de l'ATA était de 35 700 en 2009, puis de 44 500 en 2010, soit une augmentation de 24,6 %[4]. Celle-ci est à relativiser par rapport au faible nombre de bénéficiaires ces dernières années, l'année 2010 reste ainsi inférieure aux 48 100 bénéficiaires de l'année 2004[4].

Caractéristiques de l'allocation

Montant

Pour l'année 2012, l'ATA est de 11,01€ par jour, soit 330,30€ pour un mois de 30 jours[9]. L'allocation est soumise à l'impôt sur le revenu, mais pas à la CRDS, ni à la CSG.

Pour l'année 2013, l'allocation est revalorisée à 11,17€ par jour, soit 335,10€ pour un mois de 30 jours[10]. L'enveloppe prévue par le projet de loi de finances 2013 se monte à 140 millions d'euros dont 5,5 millions de frais de gestion alloués à Pôle emploi[10], les dotations des années précédentes s'étant avérées systématiquement inférieures aux dépenses réelles[11].

L'ATA est incessible et insaisissable[12].

Durée

Pour les demandeurs d'asile et les bénéficiaires de la protection temporaire, l'allocation est versée tant que la situation du bénéficiaire n'a pas évolué[13].

Dans l’attente de vous lire, je vous prie de croire, madame la députée, à ma haute considération.

 

22 juin 2013

Une députée hongroise dénonce la scandaleuse répression des manif pour tous

La députée hongroise Szilvia Bertha a déposé cette lettre à l’ambassade de France

Lettre ouverte au Président de la République François Hollande, et au ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, déposée mercredi à l’ambassade de France par la députée hongroise Szilvia Bertha, présente avec certains de ses enfants au rassemblement de protestation organisé par les Christian Women against Femen :

« Messieurs,

Nous manifestons aujourd’hui devant l’ambassade de France pour protester contre l’irresponsable politique familiale du pouvoir politique français et la scandaleuse répression dont ont été victime les très nombreux manifestants opposés à ce que l’on a pudiquement appelé « Le Mariage pour tous ».

Ainsi donc, défiant toutes les lois de la nature et entendant bouleverser les lois fondamentales de la filiation, vous avez choisi de voter en force le mariage homosexuel et la possibilité pour ces couples d’adopter des enfants et d’en être les deux parents légaux.

Vous avez également ignoré les manifestations gigantesques, réunissant plus d’un million de personnes dans les rues de Paris et dans toute la France, qui ont montré l’opposition du peuple français non seulement au mariage pour tous, mais plus encore à l’adoption d’enfants par des couples du même sexe.

Ces manifestants demandaient la tenue d’un référendum sur ces sujets fondamentaux. Pourquoi leur avoir refusé ce droit démocratique élémentaire, alors que la France se targue d’être la Patrie des Droits de l’Homme et de la démocratie, et ne manque jamais de critiquer voire d’intervenir dans le monde entier au nom de la défense de la démocratie. Nous nous souvenons notamment des critiques acerbes à l’encontre de la Hongrie lorsque son Parlement a choisi de constitutionnaliser le principe selon lequel le mariage est le fait de l’union d’un homme et d’une femme.

Pire encore, les forces de l’ordre sous les instructions du Ministre Valls ont eu un comportement invraisemblable à l’égard des opposants pacifiques à cette loi. On a vu jusqu’à des personnes vêtues du pullover de « La Manifestation pour tous » arrêtées par les forces de l’ordre dans des lieux publics pour le simple fait de porter ce sweat-shirt, ou bien forcées de retirer ce vêtement. Nous ne pensions pas que de telles pratiques pourraient encore exister dans un pays européen démocratique.

Autre exemple incroyable : la répression contre les jeunes militants de Génération Identitaire, qui ont passé 48h en garde à vue et sont soumis à un contrôle judiciaire qui leur interdit toute action politique, pour avoir simplement déployé une banderole sur le toit du siège du Parti Socialiste. Ce faisant, ils n’ont commis aucun acte de violence contre quelque personne ou objet et n’ont fait que réaliser une action médiatique.

Il semble toutefois que selon que l’on soit favorable à votre gouvernement ou pas, les happenings médiatiques ne bénéficient pas du même traitement de faveur. C’est ainsi que les Femen, groupement de femmes vulgaires prétendument féministes, pour certaines d’entre elles d’anciennes prostituées et ayant des soutiens financiers aux origines méconnues, bénéficient constamment de la protection des forces de l’ordre. Où étaient donc les forces de l’ordre lorsque les FEMEN sont venues, dénudées et grossièrement déguisées en religieuses, asperger de gaz des manifestants opposés au Mariage pour Tous ? Où étaient donc les forces de l’ordre lorsqu’une Femen a commis l’ignominie de mimer le suicide de M. Dominique Venner, qui par son geste entendait protester contre la loi scandaleuse que vous venez d’adopter, dans la cathédrale de Notre-Dame ?

L’absence des forces de l’ordre est elle aussi très sélective, puisqu’en revanche des centaines de policiers et de gendarmes étaient déployés pour empêcher la venue de quelques dizaines de jeunes femmes pacifiques – les Antigones – dans la rue où se trouve le local des Femen à Paris.

Sachez que ces pratiques n’ont pas seulement indigné le peuple français, mais aussi l’opinion internationale auprès de laquelle votre gouvernement est désormais considérablement discrédité. Néanmoins, par souci de charité, nous vous adressons tous nos vœux de chance et de réussite pour la fin de votre quinquennat, car s’il est acquis qu’il continuera à faire souffrir le peuple français, il n’est pas dit qu’il ne connaisse pas également une fin difficile pour la majorité actuelle qui gouverne la France. »

Note: 4.7/5 (405 votes enregistrés)

La députée hongroise Szilvia Bertha a déposé cette lettre à l’ambassade de France, 4.7 sur 5 basé sur 405 votes

 

 

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22 juin 2013

Les enfants élevés par des homosexuels handicapés par rapport aux enfants de familles normales

Une nouvelle étude démontre que l’homoparentalité ne vaut pas le mariage hétérosexuel.

Par Wendy Wright et Lisa Correnti

Washington DC, 15 juin. Une étude fracassante révèle que les enfants adultes de parents homosexuels masculins ou lesbiennes ont une destinée sociale, économique et émotionnelle beaucoup moins favorable que les enfants élevés dans une famille biologique intacte.

La qualité de l’étude de Mark Regnerus, professeur à l’Université du Texas, met en lumière les déficiences des études précédentes sur lesquelles les avocats des homosexuels ont compté pour accorder aux couples de même sexe le droit de se marier et d’adopter des enfants.

“ Il faut mettre fin à l’affirmation empirique selon laquelle il n’y aurait pas de différences notables ”, déclare Regnerus dans son étude, publiée dans Social Science Research.

Très poussée, l’étude de Regnerus est fondée sur l’étude de près de 3.000 enfants adultes élevés dans huit structures familiales différentes et leur répartition en quarante catégories sociales et émotionnelles. Les résultats indiquent que les enfants qui restent dans des familles biologiques intactes ont un niveau d’études plus élevé, une meilleure santé mentale et physique, font plus rarement l’expérience de la drogue, sont plus rarement impliqués dans des activités criminelles et font état en général d’un degré plus élevé de bonheur.

Les pires destinées ont été constatées chez les enfants de mères lesbiennes, ce qui contredit des études insuffisantes, popularisées par les médias, et qui affirment que les enfants s’en tirent aussi bien, voire mieux, quand ils sont élevés par des mères lesbiennes. L’étude de Regnerus démontre que la destinée de ces enfants est défavorable dans 25 des 40 catégories, la proportion d’agressions sexuelles est beaucoup plus élevée (23% des enfants élevés par des mères lesbiennes ont fait l’objet d’attouchements sexuels par un parent ou un autre adulte, contre 2% chez les enfants de parents mariés), leur santé physique est moins bonne, les cas de dépression, d’usage de la marijuana sont plus nombreux, comme le chômage (69% des enfants de maisonnées lesbiennes ne vivent que d’aides sociales, contre 17% des enfants de parents mariés).

L’étude de Regnerus démolit un dossier établi en 2005 par l’American Psychological Association (APA), souvent cité, qui concluait “ Il n’y a pas une seule étude qui ait constaté que les enfants de parents lesbiennes ou homosexuels masculins soient désavantagés sous quelque aspect important que ce soit, par rapport aux enfants de parents hétérosexuels. ”

Contrairement à l’étude de Regnerus, les études antérieures comparaient les enfants de parents homosexuels à des enfants de familles recomposées ou de familles monoparentales. D’autre part, Regnerus ne se fonde que sur des informations obtenues directement des enfants, non sur les opinions de leurs parents.

Une autre étude récente confirme que les études menées par l’APA ne sont pas dignes de foi. Loren Marks, professeur associé à l’Université d’État de Louisiane, a constaté que les études de l’APA ne comportent que trop peu de données et se sont concentrées sur les questions de genre et sur l’identité sexuelle. Elles ont négligé d’étudier les études faites par les enfants, les risques d’addiction à la drogue, de chômage, de comportement criminel ou de suicide.

Les études patronnées par l’APA que ces nouvelles études discrédites ont été utilisées dans des tentatives d’influer sur des décisions légales internationales.

Des dossiers “ amicus ”(1), soumis dans l’affaire E.B. contre la France devant la Cour européenne des droits de l’homme étaient en faveur du droit à adopter pour les couples de même sexe, en s’appuyant sur les études de l’APA, affirmant qu’il n’existait aucune preuve scientifique pour justifier “ que les couples de même sexe qui désirent adopter subissent un traitement différent [des couples mariés]parce que (à ce que savent la FIDH, ILGA-Europe, BAAF et APGL (2)) toutes les études scientifiques dignes de foi ont démontré que les enfants de parents lesbiens et gays n’avaient pas plus de risques de souffrir de problèmes émotionnels ou autres que les enfants de parents hétérosexuels ”.

Dans l’affaire de Karen Atala et ses filles contre le Chili devant l’Inter-American Court of Human Rights IACHR) un dossier “ amicus ” en faveur de parents lesbiennes qui avaient perdu la garde de leur enfants constatait que l’American Academy of Pediatrics “ reconnaît qu’un nombre considérable de travaux professionnels apportent la preuve que des enfants élevés par des parents homosexuels peuvent avoir les mêmes avantages et la même espérane de santé, d’adaptation et de développement que ceux que peuvent avoir des enfants dont les parents sont hétérosexuels. ”

(1) Amicus curiae, expression légale latine signifiant “ ami de la cour ”, référant à quelqu'un qui, n'étant pas partie à une cause, se porte volontaire pour aider la cour à trancher une matière. Note de la traductrice

(2) FIDH : Fédération internationale des droits de l’homme, ILGA : International Lesbian, Gay, Bisexual, Trans and Intersex Association, BAAF : Bristish Association for Adoption and Fostering, APGL : Association des Parents et futurs Parents gays et lesbiens. Note de la traductrice.

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De petits caniches enragés ont été lâchés contre un sociologue qui a osé exploiter des données sociologiques pour montrer ce qui autrefois serait tombé sous le sens : des enfants élevés dans des foyers “ non-conventionnels ”, en particulier dans des foyers sexuellement pervers, ne réussissent pas aussi bien dans la vie que les enfants élevés selon les plans de la nature.

Ne vous y trompez pas, un caniche peut bien être vicieux, mordre jusqu’à l’os et tuer.

Ces dernières années, dans le débat sur l’homosexualité, une doxa s’est imposée selon laquelle les enfants élevés dans des foyers homosexuels réussissent aussi bien que ceux élevés par un père et une mère mariés. En fait, certains ont même soutenu que les enfants élevés par des lesbiennes réussissent mieux. Ce qui défie la sagesse de Woody Allen qui, dans son film Manhattan, a ce mot “ Bigre, élevé par deux mères… nous autres qui avons déjà du mal à survivre avec une. ”

Plusieurs dizaines d’études prétendent démontrer que les enfants élevés par des gays ou des lesbiennes se portent très bien. Et ces études sont brandies dans des éditos, des déclarations d’experts au parlement ou à la télévision. Et les partisans de l’homosexualité ne remettent jamais, au grand jamais, leur crédibilité en question. La plupart ont même fait l’objet d’un processus de “ relecture par ses pairs, ” comme si une révision par des collègues chercheurs ayant les mêmes motivations idéologiques suffisait à améliorer des études médiocres.

Le problème de la plupart des études citées ces jours-ci, c’est qu’elles ne peuvent être considérées comme faisant autorité, et ce pour tout un tas de raisons. La taille des échantillons étudiés est trop réduite pour étendre les résultats à une population entière. Certaines de ces études n’examinent qu’une poignée de “ familles ” homosexuelles. Les études tendent à privilégier un instantané, c’est-à-dire qu’elles n’examinent pas les enfants étudiés sur plusieurs années. L’échantillon étudié est “ autosélectionné ”. Pour extrapoler les résultats d’une étude à la population entière, c’est-à-dire pour faire une étude qui soit réellement scientifique, il convient de sélectionner un échantillon de façon aléatoire.

Donc aucune des études, ou des études d’études, ne peut être utilisée pour montrer que les enfants de gays et de lesbiennes se portent “ bien, merci, ” ou même mieux, que les enfants élevés naturellement. Ceci n’a pas empêché les champions de l’homosexualité de les citer encore et toujours dans le débat sur le mariage homosexuel.

A-t-on jamais entendu le moindre de ces doutes statistiques dans la bouche de ceux qui promeuvent de telles situations ? C’est une question pertinente puisqu’une nouvelle étude qui remet en cause des positions antérieures a été dépecée par des partisans de l’homosexualité comme s’il s’agissait d’une dinde de Noël. Et tout cela dans un intervalle de temps très court puisque cette étude a été publiée ce lundi [11 juin 2012].

Cette nouvelle étude est vraiment remarquable en ce que le Dr. Mark Regnerus est parvenu à exploiter des données existantes d’une façon neuve, et fort coûteuse. Ce pauvre savant de l’université du Texas a pu dépenser près d’un million de dollars, essentiellement provenant de l’Institut Witherspoon, plongeant dans les données de l’enquête statistique nationale produite par Knowledge Networks.

D’après un des leaders homosexuels, Jim Burroway :

“ Il y a un des piliers de cette étude qui en fait l’originalité. A la différence des études précédentes, l’Etude sur les nouvelles structures familiales [New Family Structures Study ou NFSS] est basée sur une population échantillonnée de manière aléatoire à l’échelle nationale. Ceci est l’étalon-or des recherches en sciences sociales, et c’est extrêmement rare pour une étude d’y parvenir. Pour autant que je sache, la plupart des études sur l’homoparentalité à ce jour n’utilisent que des échantillons non-représentatifs de convenance. Les échantillons aléatoires à l’échelle nationale, à la différence des échantillons de convenance, sont importants car eux seuls permettent une généralisation à l’échelle de populations plus larges, dans la mesure où les caractéristiques clés de l’échantillonnage (démographie, etc.) correspondent à celles de la population entière. Les échantillons de convenance ne permettent pas cela. ”

Et, en effet, l’étude de Regnerus étudie près de 3 000 jeunes adultes issus de huit structures familiales différentes, et les évalue selon quarante catégories sociales et émotionnelles qui permettent de conclure que les enfants élevés dans des foyers “ non-conventionnels ” ne s’en sortent pas bien en matière d’éducation, de santé physique et mentale, d’usage des drogues, d’activités criminelles et de bonheur global.

De manière surprenante, les conséquences les plus mauvaises, conformément à l’intuition de Woody Allen, se retrouvent parmi les enfants de mères lesbiennes. L’étude de Regnerus montre des conséquences négatives dans 25 des 40 catégories pour ces enfants devenus adultes. Cela inclut des taux plus élevés d’agressions sexuelles (23% des enfants élevés par des mères lesbiennes ont été victimes d’attouchements sexuels par un parent ou un autre adulte, contre 2% parmi les enfants élevés par des parents mariés), une santé physique moindre, plus de dépressions, un plus grand usage de la marijuana et un plus fort taux de chômage (69% des enfants dont la mère est lesbienne ont dépendu de l’aide publique, contre 17% des enfants de parents mariés).

Les chiens furent lâchés seulement quelques heures après la publication de l’étude. Un “ flèche ” au journal New Republic a même publié un article exigeant la censure publique de Regnerus, qui est par ailleurs très respecté, et largement publié. Vous ne rêvez pas, j’ai bien écrit censure.

Will Saletan a écrit dans salon.com que l’étude était profondément viciée à cause du choix des catégories. Selon lui l’étude montre plutôt que, puisque la plupart de ces enfants viennent de foyers dysfonctionnels, ce dont ils ont le plus besoin, c’est de la promotion d’un mariage gay stable.

John Corvino, de New Republic, a même suggéré que la définition de “ homosexuel ” dans cette nouvelle étude était si large qu’elle inclut les prisonniers, les prostituées hétérosexuelles qui offrent parfois leurs services aux femmes, et ce “ gros lard ” de Teg Haggard, un pasteur évangélique qui a eu à plusieurs occasions des relations sexuelles avec des prostitués masculins alors qu’il était drogué. Mais, comme Maggie Gallagher le précise dans National Review, aucun de ces cas ne pourrait entrer dans le champ étudié.

Est-ce qu’aucun de ces journalistes-critiques n’a jamais été lâché contre les études méthodologiquement très mauvaises qui cherchent à montrer que l’homoparentalité est tout aussi bien, ou même mieux que la parentalité naturelle ? Pas que je sache.

On peut s’attendre à ce que cette nouvelle étude, la plus solide méthodologiquement de sa catégorie à ce jour, va être attaquée par la gauche en furie et ses émissaires dans les grands médias. Gallagher appelle cela l’effet Zach Walls. Il s’agit d’un boy-scout élevé par des lesbiennes qui est présenté comme la norme par Letterman, Leno et DeGeneres. Zach Walls est peut-être réel, mais cette nouvelle étude montre qu’en faire la norme est un mythe.

Photo : Prof. Mark Regnerus

Source : http://www.thecatholicthing.org/col...

 

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